L'Annulaire
Une fois n'est pas coutume, je voulais vous parler d'un film francais, qui a un an deja mais qui est en ce moment a l'affiche a Tokyo: l'Annulaire.
Si je ne me trompe pas, il me semble que ce film est passe relativement inapercu du grand public en France a l'epoque malgre de bonnes critiques.
Et pourtant, tire d'un roman de Yoko Ogawa (on imagine tout de suite le theme un peu trash et on ne se trompe pas) et realise par Diane Bertrand, l'Annulaire est loin d'etre un film de seconde zone.
L'actrice, Olga Kurylenko, en plus d'etre incroyablement belle (elle est modele avant d'etre actrice) joue parfaitement son role de femme enfant a la derive, attire par l'indicible.
Le personnage du Docteur est egalement parfait, repugnant a souhait, on en fremit des qu'il approche la belle Olga.
Au depart, je dois avouer ne pas etre une grande fan d'Ogawa (Hotel Iris m'est tombe des main), je suis allee voir ce film principalement pour la bande son signee Beth Gibbons.
La aussi, c'est une reussite. Ca "colle" tellement bien a l'ambiance de ce port de Hambourg, a croire que le trip hop ne sied qu'aux villes industrielles.
En fin de compte, le film m'a veritablement interessee (exploit, je n'ai pas du regarder ma montre une seule fois) malgre quelques incoherences.
Je ne parle meme pas des costumes splendides signes Vanessa Bruno et Corinne Sarrut qui feraient sans aucun doute figurer cette oeuvre au rang des "films bien sapes" de Geraldine.
Et surtout surtout, bien que les acteurs et les lieux soient europeens, on ressent tres fortement l'influence nipponne derriere cette ambiance si particuliere (a la Tokyo Decadence en beaucoup plus soft).
Bref, je vous le conseille (ames trop sensibles, s'abstenir neanmoins).
Depechez-vous car comme tout film qui se respecte a Tokyo, dans 3 jours il ne sera plus a l'affiche...
Toutes les infos (horaires etc)
Si je ne me trompe pas, il me semble que ce film est passe relativement inapercu du grand public en France a l'epoque malgre de bonnes critiques.
Et pourtant, tire d'un roman de Yoko Ogawa (on imagine tout de suite le theme un peu trash et on ne se trompe pas) et realise par Diane Bertrand, l'Annulaire est loin d'etre un film de seconde zone.
L'actrice, Olga Kurylenko, en plus d'etre incroyablement belle (elle est modele avant d'etre actrice) joue parfaitement son role de femme enfant a la derive, attire par l'indicible.
Le personnage du Docteur est egalement parfait, repugnant a souhait, on en fremit des qu'il approche la belle Olga.
Au depart, je dois avouer ne pas etre une grande fan d'Ogawa (Hotel Iris m'est tombe des main), je suis allee voir ce film principalement pour la bande son signee Beth Gibbons.
La aussi, c'est une reussite. Ca "colle" tellement bien a l'ambiance de ce port de Hambourg, a croire que le trip hop ne sied qu'aux villes industrielles.
En fin de compte, le film m'a veritablement interessee (exploit, je n'ai pas du regarder ma montre une seule fois) malgre quelques incoherences.
Je ne parle meme pas des costumes splendides signes Vanessa Bruno et Corinne Sarrut qui feraient sans aucun doute figurer cette oeuvre au rang des "films bien sapes" de Geraldine.
Et surtout surtout, bien que les acteurs et les lieux soient europeens, on ressent tres fortement l'influence nipponne derriere cette ambiance si particuliere (a la Tokyo Decadence en beaucoup plus soft).
Bref, je vous le conseille (ames trop sensibles, s'abstenir neanmoins).
Depechez-vous car comme tout film qui se respecte a Tokyo, dans 3 jours il ne sera plus a l'affiche...
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Libellés : film
2 Commentaires:
C'est que tu me donnerais presque envie de le voir (tu sais quels arguments choisir pour me convaincre)! Mais en fait nan, pas possible, ce film m'avait paru beaucoup trop torturé pour moi à sa sortie en France. Dommage, je loupe la musique, les costumes et la belle Olga...
Là où je rebondis et c'est bien normal.... c'est sur l'hôtel Iris. On est d'accord, Ogawa est avant tout une grande noveliste qui sait en quelques pages nous plonger au coeur d'un univers étouffant et fascinant mais, l'hôtel Iris est certainement le plus abouti de ses romans ne serait-ce que par le traitement de l'espace et du temps sous l'angle bien nippon de la lumière... c'est suffocant à souhait... alors non! L'hôtel Iris n'est pas un roman de seconde zone... et réussir à faire passer pour sublime l'amour d'une adolescente et d'un grabataire à grands coups de perversions sexuelles, n'est pas une gageure facile...
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